C’est en tout cas la question que pose l’analyse transgénérationnelle (appelée communément psychogénéalogie). Développée depuis les années 1970, cette approche thérapeutique émet le postulat suivant : aussi vrai que nous héritons génétiquement de nos parents et de nos ancêtres, nous recevons également un héritage émotionnel – positif et négatif – de nos ancêtres, héritage qui, parfois, a des répercussions sur notre vie, notre caractère, nos ressentis… et même sur nos maladies !
Dans les faits, il existe, au sein de l’analyse transgénérationnelle, différentes approches et méthodes théorisées par des psychologues, psychiatres et psychanalytes tels que Nicolas Abraham et Maria Torok (qui ont théorisé le concept de fantômes familiaux notamment), Françoise Dolto, Didier Dumas, Serge Tisseron ou encore Ivan Boszormenyi-Nagy (qui a théorisé lui le concept de loyauté familiale invisible) et Bruno Clavier. Anne Ancelin Schützenberger, elle, a mis sur pied un outil appelé génosociogramme : outil essentiel, il consiste pour le patient à retracer son arbre généalogique de mémoire, avec une feuille de papier comme simple support. Je vous renvoie à la bibliographe de Schützenberger pour de plus amples informations. C’est notamment elle qui a développé le concept de syndrome d’anniversaire, selon lequel des événements se produisent et se répètent au fil des générations.
À titre personnel, j’explore le monde de l’analyse transgénérationnelle depuis quelques années. Dans ce cadre, je peux intervenir dans le cadre d’une thérapie, aux côtés d’un psychologue formé à cette approche, afin de mener avec vous des recherches généalogiques et vous aider ainsi dans votre quête de sens. Plus globalement, je peux vous conseiller et vous donner des clés de lecture de votre généalogie, à partir d’une problématique donnée.
N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations.