19 avril 1817. L’hiver le plus froid du siècle, paraît-il. J’arrive non sans peine à Laval, petit village de l’Isère situé à une vingtaine de kilomètres au nord-est de Grenoble. La neige est abondante, le vent impitoyable, le ciel menaçant. Je dois y rejoindre trois membres de ma famille : Jacques Milliex, mon sosa n°78 et […]